loading... 

Interview

Christine CONSTANT

Direction des sports, de la jeunesse et de la vie associative
Conseillère technique au Conseil Régional des Hauts de France

Temps de lecture : 1 minute

Mon regard sur le Grand Forum

Je suis ravie que cette journée intéressante et conviviale se soit déroulée en Hauts-de-France. Je retiens surtout que les participants, d’où qu’ils viennent, avaient une forte envie d’échanger.

J’ai vu lors de ce forum des participants très motivés, militants, passionnés, qui ont envie de faire « bouger les lignes ». Ils sont à l’écoute et accompagnent la personne en situation d’illettrisme et/ou d’illectronisme Ce type de rencontre permet de mieux comprendre les interventions des différents acteurs et ainsi d’avoir des prises de conscience et des pistes réelles.

Il me semble fondamental de se mettre d’accord sur la définition de l’illettrisme et ce que cela recouvre afin de poser les bases d’une culture commune. Le temps n’est plus à chercher les responsables mais plutôt à réfléchir à ce que l’on peut faire ensemble, y compris sur le sujet de l’outillage des acteurs, pour faire davantage au lieu de constater d’éventuels manquements de l’un ou l’autre.


« L’illettrisme, tout le monde s’en occupe ou pas dans un territoire »

Chacun a un rôle à jouer. Sur un territoire, l’illettrisme, tout le monde s’en occupe …ou pas ! Le secteur privé aussi et les entreprises qui agissent doivent être valorisées. De leur côté les politiques publiques doivent accompagner la fluidité des parcours de la personne en situation d’illettrisme. La coordination, la coopération entre les métiers d’accompagnement est un sujet à travailler encore, toujours au bénéfice de l’usager.

Des cadres communs et pluriannuels sont utiles pour travailler dans la sérénité. Ces plans d’actions doivent sans tabou se coordonner et se compléter à des échelles géographiques différentes.

L’observation, le diagnostic, la connaissance du territoire et des publics sont encore des sujets à développer, et chacun devra innover dans son approche. Il en va de même sur la capacité à connaitre la réalité de l’offre dans un territoire et son adéquation avec les besoins.

Interview

Christine CONSTANT

Direction des sports, de la jeunesse et de la vie associative
Conseillère technique au Conseil Régional des Hauts de France

Temps de lecture : 1 minute

Mon regard sur le Grand Forum

Je suis ravie que cette journée intéressante et conviviale se soit déroulée en Hauts-de-France. Je retiens surtout que les participants, d’où qu’ils viennent, avaient une forte envie d’échanger.

J’ai vu lors de ce forum des participants très motivés, militants, passionnés, qui ont envie de faire « bouger les lignes ». Ils sont à l’écoute et accompagnent la personne en situation d’illettrisme et/ou d’illectronisme Ce type de rencontre permet de mieux comprendre les interventions des différents acteurs et ainsi d’avoir des prises de conscience et des pistes réelles.

Il me semble fondamental de se mettre d’accord sur la définition de l’illettrisme et ce que cela recouvre afin de poser les bases d’une culture commune. Le temps n’est plus à chercher les responsables mais plutôt à réfléchir à ce que l’on peut faire ensemble, y compris sur le sujet de l’outillage des acteurs, pour faire davantage au lieu de constater d’éventuels manquements de l’un ou l’autre.


« L’illettrisme, tout le monde s’en occupe ou pas dans un territoire »

Chacun a un rôle à jouer. Sur un territoire, l’illettrisme, tout le monde s’en occupe …ou pas ! Le secteur privé aussi et les entreprises qui agissent doivent être valorisées. De leur côté les politiques publiques doivent accompagner la fluidité des parcours de la personne en situation d’illettrisme. La coordination, la coopération entre les métiers d’accompagnement est un sujet à travailler encore, toujours au bénéfice de l’usager.

Des cadres communs et pluriannuels sont utiles pour travailler dans la sérénité. Ces plans d’actions doivent sans tabou se coordonner et se compléter à des échelles géographiques différentes.

L’observation, le diagnostic, la connaissance du territoire et des publics sont encore des sujets à développer, et chacun devra innover dans son approche. Il en va de même sur la capacité à connaitre la réalité de l’offre dans un territoire et son adéquation avec les besoins.